Opinion: `` Avec sa liste d'esclavage, le British National Trust fait une entrée bienvenue dans le 21e siècle ''

Chartwell House, la résidence Kent de Churchill.
Chartwell House, la résidence Kent de Churchill. Image: David Hillas Wikimedia CC BY SA 2.0

Dans un article d'opinion au Guardian, Catherine Bennette déclare que «Avec sa liste d'esclavage, le British National Trust fait une entrée bienvenue dans le 21e siècle». La nouvelle perspective des propriétés sous la garde du Trust est un moyen de se réconcilier avec l'héritage colonial de la noblesse du pays.

Au grand dam de critiques comme Ann Widdecombe (qui a a démissionné de son adhésion au Trust en signe de protestation), le National Trust du Royaume-Uni a fait des rapports détaillés sur les liens des anciens propriétaires des propriétés avec la traite des esclaves, les plantations et le colonialisme.

Cette réévaluation de l'héritage de ces propriétés met en lumière la longue histoire censurée du colonialisme britannique et son impact sur les populations des colonies. Ce recadrage de l'histoire est considéré par les critiques comme un projet de diffamation sur les personnages historiques et le patrimoine britannique. La directrice du National Trust, Mme Hilary McGrady a a réfuté l'accusation selon laquelle le Trust est devenu une organisation avec un agenda politique. Elle a déclaré qu'informer les visiteurs de l'histoire complète de ces propriétés ne faisait qu'affirmer la complexité de l'histoire britannique et que les jugements rendus par les visiteurs étaient les leurs.

Parmi les grands noms mentionnés dans la liste figurent Winston Churchill, William Wordsworth et Rudyard Kipling. Lisez le rapport complet ici au National Trust.org.uk.

Lisez l'article d'opinion de Catherine Bennette sur The Guardian.

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Cet article a été initialement publié en anglais. Les textes dans d'autres langues sont traduits par l'IA. Pour changer de langue : allez dans le menu principal ci-dessus.

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